Apprentissage en ligne: Premières expériences avec la nourriture

See L’alimentation du nourrisson de 6 à 12 mois- Réseau de santé Horizon
See Guide et recettes pour l’introduction des solides-Réseau de santé Vitalité

Recommandations pour l’alimentation des nourrissons

• L’allaitement exclusif est recommandé pendant les 6 premiers mois.
• Vers l’âge de 6 mois, commencez à offrir des aliments solides et poursuivez l’allaitement jusqu’à l’âge de 2 ans et au-delà.
• Les bébés allaités ou partiellement allaités doivent recevoir 400 UI de vitamine D par jour sous forme de supplément.
• Si le bébé n’est pas allaité, une préparation commerciale pour nourrissons à base de lait de vache est recommandée jusqu’à l’âge de 9 à 12 mois.

Vers l’âge de 6 mois, observez les signes indiquant que votre bébé est prêt à manger des aliments solides :

• – Il est capable de s’asseoir dans une chaise haute avec ou sans soutien.
• – Il montre de l’intérêt pour ce que vous et votre famille mangez.
• – Il regarde la cuillère et ouvre la bouche lorsque la cuillère arrive.
• – Il prend les aliments et essaie de les mettre dans sa bouche.
• – Il garde les aliments dans sa bouche et les avale au lieu de les repousser.

• Proposez d’abord à votre bébé des aliments riches en fer, tels que des céréales pour nourrissons enrichies en fer, de la viande ou du poisson finement haché, de la purée d’œufs cuits, de la purée de haricots ou du tofu.

• Ajoutez des légumes et des fruits mous.

• Introduisez les aliments allergènes courants en toute sécurité. Les aliments allergènes courants comprennent les arachides, les noix, le soja, les œufs, le blé et les produits laitiers. Attendre pour donner des aliments allergènes courants ne prévient pas les allergies alimentaires et peut favoriser leur développement.
  • Ajouter un nouvel aliment allergène à la fois.
  • Lors de la première introduction d’un aliment allergène courant, en donner une petite quantité.  Par exemple, proposez du beurre de d’arachide lisse qui a été dilué dans de   l’eau chaude ( refroidir le mélange) ou mélangé à un aliment précédemment toléré (lait maternel, céréales pour nourrissons, yogourt, etc.). Offrez-le sur le bout d’une cuillère, directement dans la bouche, et attendez 10 minutes. Si aucun symptôme ne se manifeste, nourrissez l’enfant à son rythme habituel.
  • Introduire en premier lieu les arachides et les œufs vers l’âge de 6 mois.
  • Offrir l’aliment allergène toléré 2 à 3 fois par semaine.

• • Commencez à lui offrir des aliments en purée vers l’âge de 6 mois.
  • Le haut-le-coeur est un réflexe naturel lorsque l’enfant apprend à mâcher et à avaler de nouveaux aliments.
  • Entre sept et neuf mois, en fonction des signaux et des capacités de votre bébé en matière d’alimentation, passez rapidement à des aliments hachés ou coupés en dés, quel que soit le nombre de dents de votre bébé.
  • Permettez à votre bébé de manger avec ses doigts et à la cuillère.
  • Aliments à manger avec les doigts en toute sécurité
  • Des morceaux de légumes mous et cuits
  • Fruits mous et mûrs, tels que les bananes
  • Viande cuite finement hachée, hachée ou coupée en dés
  • Poisson, poulet ou dinde désossés
  • Fromage râpé
  • Croûte de pain ou pain grillé
  • À 12 mois, votre tout-petit peut manger une variété d’aliments sains de différentes textures, continuez à modifier la texture des aliments si nécessaire.

See video: Des textures variées pour votre bébé (UnlockFood.ca)

Vous pouvez préparer vos propres aliments pour bébés à la maison avec quelques ustensiles de cuisine de base : Fourchette ou pilon à pmmes de terre, râpe, grille-pain, robot culinaire, mélangeur, et un bon couteau.

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Les protéines cuites
Ils peuvent être hachés, émincés, râpés ou coupés en morceaux. Vous pouvez les réduire en purée ou les écraser dans de l’eau, du lait maternel ou le liquide dans lequel vous les avez cuits. Si vous nourrissez votre enfant au lait maternel, vous pouvez utiliser du lait maternisé.

• Boeuf
• Porc
• Poulet
• Dinde
• Poisson- Voir: Directives de consommation : Le poisson et le mercure (GNB.ca) Le poisson et le mercure (GNB.ca) et Le mercure dans le poisson Le mercure dans le poisson (Canada.ca)
• Œuf
• Pois, haricots et lentilles séchés

Légumes et fruits
Les légumes et les fruits frais, surgelés ou en conserve à faible teneur en sodium offrent de nombreux choix. Si vous ne trouvez pas de légumes à faible teneur en sodium ou des fruits dans l’eau, rincez simplement les aliments avant de les servir.

• Faites cuire vos fruits et légumes, puis écrasez-les, réduisez-les en purée, hachez-les, râpez-les ou coupez-les en morceaux.
• Les légumes doivent être cuits, mais les fruits très mous – comme les bananes mûres ou les avocats – peuvent être servis crus et simplement coupés ou écrasés.

Grains entiers

Les céréales pour nourrissons lisses, nature ou à un seul ingrédient, contenant du fer, peuvent être préparées selon les directives indiquées sur l’emballage. Vous pouvez y ajouter du lait maternel ou du lait maternisé et d’autres fruits.

Des examples d’aliments à base de céréales complètes mangeable avec les mains :

• Morceaux de bagel grillé
• Bandes de pain grillé sec
• Riz
• Quinoa
• Roti
• Nouilles
• Pâtes cuites
• Pains plats
• Céréales
• Craquelins non salés

Le miel
Les bébés ne doivent pas manger de miel avant l’âge de 12 mois. Cela est dû au risque de botulisme, une forme grave d’intoxication alimentaire.

Aliments contenant des sucres ajoutés
Les aliments riches en sucre ajouté laissent peu de place dans le petit estomac de bébé pour les aliments dont il a besoin pour grandir et se développer, comme les aliments riches en fer, les légumes et les fruits.

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Aliments contenant du sel ajouté
Le sel doit être limité dans l’alimentation des bébés car leurs reins ne sont pas complètement développés et ne sont pas en mesure de traiter de grandes quantités de sel. Les bébés exposés à des aliments salés peuvent développer une préférence pour ce type d’aliments.

Aliments susceptibles de provoquer l’étouffement de votre bébé

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Le rôle des parents : Quels aliments sont offerts, quand et où ?

Rôle du bébé : s’il mange et en quelle quantité

Comment savoir si votre bébé a faim :

• Il se tourne vers la nourriture
• Ouvre la bouche lorsqu’il voit de la nourriture
• Il est excité lorsqu’il voit de la nourriture ou lorsqu’il entend des mots comme « c’est le temps de dîner “ ou ” c’est l’heure du goûter »

Comment savoir si votre bébé est rassasié :

• Détourne la tête
• Ferme la bouche lorsqu’on lui propose de la nourriture
• Crache la nourriture
• Couvre sa bouche avec ses mains
• Il est plus intéressé par le fait de jouer avec la nourriture ou de la jeter par terre.

Répondre aux signaux de bébé – Unlock Food

Des habitudes alimentaires saines

Les repas sont l’occasion d’établir un lien avec votre bébé et de lui servir de modèle.
Repas et collations réguliers
Repas en famille

• Faites participer votre bébé aux repas familiaux
• Limitez les distractions. Pas de jouets, de télévision ou d’appareils électroniques à l’heure des repas et des collations
• Soyez patient. Les bébés feront des dégâts lorsqu’ils apprendront à se nourrir seuls.
• Encouragez votre bébé, mais ne lui mettez pas la pression
• Évitez d’utiliser la nourriture comme une punition ou une récompense
• Servez une variété d’aliments sains, même si vous ne les aimez pas

• Utiliser le Guide alimentaire canadien pour quels aliments offrir.
• Certains aliments peuvent devoir être adaptés aux tout-petits en modifiant leur forme et leur texture- Voir la section ci-dessous sur les aliments susceptibles de causer un étouffement et comment les rendre plus sécuritaires
• Inclure les légumes et fruits, les aliments protéinés et les aliments à grains entiers :
  • Légumes et fruits : carottes, céleri, poivrons, brocoli, fraises, bleuets, bananes, etc.
  • Les aliments protéinés: Beurres de graines et noix, lentilles, houmous, viande, volaille, poissons, œufs, lait, fromage, yogourt, etc.
  • Les aliments à grains entiers : pain à grain entiers, pâtes, céréales, quinoa, craquelins, etc…
• Vous pouvez choisir d’offrir des légumes frais, surgelés ou en conserve. Si vous utilisez des légumes en conserve, égouttez-les et rincez-les pour éliminer une partie du sodium utilisé dans la mise en conserve. Choisissez des fruits en conserve emballés dans l’eau ou du jus, et égouttez le jus.
• Offrez des fruits plutôt que des jus de fruits, car les jus de fruits peuvent être élevés en sucre et ne contiennent pas les fibres comme les fruits. Offrez de l’eau à boire à la place du jus de fruits.
• Nous voulons également souligner que les meilleures habitudes alimentaires comprennent les aliments qui reflètent vos préférences, votre culture, votre budget et votre mode de vie.

Voir: Une saine alimentation pour les parents et les enfantsts and children – Guide alimentaire canadien

• Si vous allaitez, continuez jusqu’à l’âge de 2 ans ou plus.
• Le lait fournit des protéines, des matières grasses, du calcium et de la vitamine D, ainsi que d’autres nutriments importants.
• D’autres types de lait, tels que le lait de soja, d’amande, de coco, de riz ou the chanvre, ne sont pas des alternatives appropriées pour le lait de vache/de chèvre ou au lait maternel, car ils ne contiennent pas des quantités comparables de matières grasses, de protéines et d’énergie.
• Offrez du lait de vache entier pasteurisé (3.25%) ou du lait de chèvre entier pasteurisé enrichi en vitamine D.
• Si votre enfant boit du lait, offrez 2-3 tasses (500-750ml) de lait par jour.
• Offrez environ ½ tasse de lait à la fois (par exemple à chaque repas et au coucher).
• Après l’âge de 2 ans, vous pouvez passer à un lait moins élevé en gras. Le lait de soja est l’alternative à base végétale recommandée.
• Santé Canada recommande un supplément de vitamine D de 400 UI pour les bébés et les trottineurs allaités ou partiellement allaités jusqu’à l’âge de 2 ans et plus.
• Il est entendu qu’après l’âge de 2 ans, les enfants consomment probablement quotidiennement des sources alimentaires adéquates de vitamine D et n’ont pas besoin d’un supplément de vitamine D. Ces sources incluent le lait, le jaune d’œuf, les poissons gras et la margarine molle.

Voir: Vitamine D – Canada.ca

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• Certains aliments contiennent des quantités plus élevées en sucre et devraient être offerts moins souvent.
• Nous suggérons d’offrir des petites portions de sucreries de façon neutre, et non comme une « friandise » ou une récompense. Elles pourraient êtres offerts durant le repas plutôt qu’à la fin (les trottineurs peuvent parfois choisir de manger le « dessert » en premier et c’est tout à fait normal)
• Des aliments qui pourrait provoquer un étouffement et comment les rendre plus sécuritaires:

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Voir: Tendre Soins – 1 à 3 ans

• Les trottineurs font mieux avec la régularité des repas et des collations et s’habituent à la routine. Il est recommandé de respecter un horaire de trois repas et deux ou trois collations par jour, à peu près à la même heure.
• Manger en famille et avec des amis autant que possible et d’éviter les distractions
• • Votre enfant doit être assis dans une chaise haute ou un siège d’appoint et doit être surveillé pendant les repas et les collations

Voir: Une saine alimentation pour les parents et les enfantsts and children – Guide alimentaire canadien

Voir: Tendre Soins – 1 a 3 ans

• Le rôle des parents consiste à contrôler quels aliments sont offerts, quand ils sont offerts et l’endroit où ils sont offerts et
• Le rôle de l’enfant consiste à contrôler la quantité qu’ils mangent. Les trottineurs peuvent choisir de manger ou de ne pas manger un repas ou une collation.
• Voir: Une saine alimentation pour les parents et les enfantsts and children – Guide alimentaire canadien
• Voir: 10 Conseils pour aider votre enfant à développer une relation positive avec la nourriture et son corps

• Les comportements des trottineurs peuvent souvent être associés avec une alimentation difficile. Ils peuvent manger très peut un jour et beaucoup le lendemain, d’aimer un aliment un jour et de ne pas l’aimer le lendemain, de passer par une phase où ils veulent seulement manger les mêmes aliments pour chaque repas, de dire qu’ils n’ont pas faim durant l’heure du repas et reviennent sous peu pour dire qu’ils ont faim, et d’avoir des fluctuations de goûts.
• Les habitudes alimentaires des trottineurs commencent probablement vers l’âge de 18 mois. Votre enfant, qui était auparavant ouvert à l’exploration et à l’essai de nouveaux aliments, commence à développer de nouveaux comportements alimentaires.
• Ils apprennent également à gérer leurs émotions, à tester les limites ou à affirmer leur contrôle sur les situations.
• Ces comportements sont souvent temporaires et disparaîtront avec le temps et la croissance de votre trottineur.

L’enfant distrait

Lorsque votre trottineur est trop distrait pour manger, voici quelques conseils :

• Assoyez l’enfant lors des repas et collations
• Maintenir un horaire
• Éliminer les distractions (les jouets et les écrans)
• Minimiser le temps des repas et collations

L’enfant qui lance la nourriture 

Si votre trottineur lance de la nourriture pendant les repas, voici quelques conseils :

• Demeurer calme et neutre lorsque cela arrive
• Offrez 1 à 2 chances pour corriger le comportement et si le lancement de nourriture continue, retirez la nourriture.
• Comprendre l’indice que votre trottineur a fini de manger.
• Introduire « l’endroit des aliments rejetés ». Ceci est particulièrement utile pour les trottineurs qui ont tendance à se sentir frustrés lorsqu’ils ont devant eux des aliments dont ils ne veulent pas. L’endroit des aliments rejetés est un endroit désigné où votre trottineur peut déposer les aliments qu’il a refusé. Cela lui permet de choisir parmi les options qui lui sont offerts et de conserver les aliments qu’il veut, tout en plaçant les aliments qu’il ne veut pas dans un endroit désigné et qui n’est pas sur le sol.

Le refus des aliments

Si votre trottineur refuse de manger pendant les repas ou les collations, voici quelques conseils :

• Résister le désire d’offrir des récompenses, de punir ou d’exercer la pression ou imposer une quantité
• Laisser l’enfant découvrir les aliments à son propre rythme
• Offrir un nouvel aliment avec un aliment de préférence
• Continuer d’offrir les aliments rejetés
• Varier la façon que les aliments sont préparés (par exemple, au lieu de pommes de terre en quartiers, essayez de servir les pommes de terre coupées en frites ou en purée)
• Manger les mêmes aliments que le reste de la famille
• Inclure votre enfant à la préparation du repas
• Résister la tendance de piéger votre enfant ou de camoufler les légumes et fruits.
• Atténuer les saveurs fortes des légumes avec des épices, des condiments, des sauces et autres saveurs.
• Changer la texture des fruits en les transformant en sauce ou confiture et choisir des fruits en conserve plutôt que des fruits frais.
• Soyez prêts à accepter que votre enfant n’aime tout simplement pas le fruit ou le légume